Le dernier chapitre de Kaisen Jujutsu reprend là où la conversation s'est arrêtée la dernière fois concernant l'utilisation de l'énergie maudite et des sorciers Jujutsu pour aider à produire l'énergie la plus propre de l'histoire pour le bien du gouvernement américain. Si le président ne semble pas très réceptif à l’idée, il est néanmoins sensibilisé aux menaces et aux risques géopolitiques qui menacent quotidiennement leur pays.
Les pays du Moyen-Orient voudraient protéger leurs droits énergétiques, tandis que d’autres, comme l’Allemagne, continuent de faire pression pour abandonner l’énergie nucléaire. En outre, il existe également plusieurs pays dotés d’une grande puissance militaire, comme l’Inde et la France. Il existe d’innombrables pays qui seraient intéressés par cette source d’énergie et une fois que quelqu’un fait un pas, les autres continueront à suivre.
Dans ce qui semble être une tentative de pacification, ils concluent que monopoliser cette énergie est le seul moyen de protéger le peuple japonais, sinon le monde sera à leur recherche. Alors que les États-Unis estiment qu'ils sont les premiers à être contactés à ce sujet, il se révèle que Kenjaku coopère déjà avec d'autres pays, à leur insu.
Finalement convaincu du projet, le Président se tourne vers le lieutenant général de son armée et lui demande combien de personnes seraient nécessaires pour mener à bien cette opération. Alors qu'il exprime ses doutes sur Gojo, Kenjaku réaffirme qu'il serait enfermé au moment de l'attaque. Il affirme ensuite qu'environ 60 à 200 soldats seront plus que suffisants et est même convaincu qu'il pourra ramener jusqu'à 5 douzaines de sorciers.
Sous-estimant clairement la force des sorciers, il estime qu’ils n’ont aucun moyen de combattre « les muscles et les balles ». Kenjaku répond en lui disant qu'il en aurait besoin d'au moins 800 et va même jusqu'à le mettre au défi de montrer la vraie force des sorciers. Le test impliquait Kenjaku, que tout le monde croit être Geto, passant de l'aile ouest à l'aile est tandis que 45 soldats d'élite lui barraient la route.